Petit récital sur un genre d'être humain totalement mésestimé par ses pairs (et ses mairs ouarfff) et à mourir de rire: le loser

Bon, puisqu'une personne totalement irresponsable m'a donné l'autorisation de me joindre à votre secte et d'écrire les plus grandes insanités qui soit sur un genre que j'exècre par desssus tout (l'humanité), eh bien je me lache.

Mon premier sujet et ma première source d'acharnement jusqu'à ce qu'il crève sera ce misérable, que dis-je, ce pathétique (car il n'a pas d'éthique ouarff) olibrius qui il faut le dire n'a jamais eu de chance (c'est en cela que ce sujet est à se poiler de rire).

Le loser dès la naissance n'a jamais eu la moindre chance. Dès qu'il a sorti sa tête sans queue ni tête du ventre de sa mère qui se demande encore pourquoi, mais POURQUOIIIIIIIIIII moi, il savait qu'il était condamné.
Oh condamné, je sais me direz-vous, je suis gentil. J'aurais pu dire grillé, cuit, foutu, chapeau pointu. Condamné à errer sur cette Terre de la plus abjecte des façons, condamné à perdre (contraire de gagner).
Prenons l'exemple, hum, oui, celui d'un loser célèbre. Je sais pas moi y'en a tellement, vous me fatiguez à la fin. Bon toi là-bas, oui toi qui se cache derrière sa webcam. Ne fais pas l'innocent, je te vois avec ton air ricaneur et moqueur. C'est pas drôle de dire qu'on va prendre un exemple alors qu'on en a pas et que sa démonstration est à deux doigts (peut-être même trois) de prendre la grenadine (oui, je n'aime l'eau plate que diluée dans un volume et demi de sirop de grenadine). Toute ma crédibilité est en jeu et je sens déjà sur moi le regard malveillant de l'AUTRE, oui l'AUTRE celui qui m'a autorisé à m'imprimer (j'ai un problème avec mes ex) dans ces lieux. Ai pitié de moi, AUTRE, je t'en prie, c'est mon premier post. Bon alors toi qui se fout de ma gueule, tu te déconnectes. Tu débranches ta webcam et tu te casses. Ouste, de la serpillère (je n'aime pas passer le balai, ça laisse toujours des traces), tu te casses (pas en 2 mais en 27 parce que j'adore ce chiffre) , je veux plus te voir de mes yeux vus. Tu discutes pas, non mais... Non mais laisse moi finir...Quoi ton koala? C'est ton koala qui t'a obligé à adopter ce comportement puéril dans le double (car je ne suis pas simple) but de nuir à ma démonstration qui se noie, se noie, oh mon gourou, c'est atroce sauvez-moi. Mais qu'est-ce qu'un koala vient foutre sur un CONTRE blog? Quelqu'un peut-il m'impliquer? Et mon sujet sur les losers?
Bouhhhhhhh. D'entré, je suis plus du tout crédible.
Quoi, tu as un exemple de loser célèbre à me donner. Vas-y, je te jure, je le répèterais pas sauf à ma maman, à mon papa, à ma pendule, mon armoire et mes DVD.
Ils sont plusieurs? Quatre? Un groupe qui a exventé le punk mais qui s'est fait piqué le concept par un autre groupe de Londres? Les Ramones?
Oh ben oui, c'est évident, pourquoi n'y ai-je pas pensé avant?
C'est parti pour les Ramones. Rien que leur mort est déjà un sketch à elle toute seule. Car, il faut le dire ils sont tous morts. Une règle d'or quand on est un loser, c'est qu'on est condamné à mourir tôt (hormis Jeff Buckley qui ne savait pas nager, halleluia). La mort la plus drôle est celle de Joey car c'est lui qui a le plus souffert (les autre étant morts de banales overdoses ou d'étouffement dans leur vomi suite à une overdose) . Oui, Joey était un cas à part, comique malgré lui (GABBA GABBA HEY) qui a mis plusieurs mois à croire qu'il allait se sortir de ce mal de ventre. Il faut dire qu'il avait pas fait médecine et que ce qu'il croyait n'être qu'une simple angine hé bien n'était autre qu'un vulgaire cancer généralisé.

Pourquoi les Ramones sont des losers? Parce qu'ils ont inventé le punk et que ce sont les Sex Pistols qui ont raflé la mise. D'ailleurs quand il y a un loser, il y a forcément un winner pour en profiter derrière ( Black Francis vs Kurt Cobain, Beatles vs Kinks, Massive Attack vs Smith & Mighty, Sampras vs Agassi). D'où la seconde règle d'or du loser, il a toujours un ennemi et cet ennemi est un winner.

La troisième règle d'or est que le loser n'a strictement aucune chance de trouver l'amour. C'est scientifiquement prouvé. Il suffit pour le vérifier d'utiliser la règle mathématique de la lose. La voici: Taux de lose=nombre de vestes prises/nombre de tentatives. Ce taux est souvent proche de zéro pour le loser ou tend inexorablement vers l'infini. Cela donne une hyperbole dont la tangente est égale à 0. Son interprétation mathématique est proportionnelle au taux de suicide qu'elle engendre.

La prochaine fois, je vous parlerai des clichés (non pas ceux qu'on ramène des vacances). Les clichés style les français ne se lavent pas (oui mais comme ça ils font des économies d'eau, na).