jeudi, mars 09, 2006

Joie et pleur dans l'administration (Partie 1)

L’administration à la FAC, y’a pas à dire c’est unique.

Petit rappel : Je dois faire un stage en mai juin.
Petit miracle : j’ai trouvé un stage.
Petit problème : suite à quelques menus incidents (papier à récupérer aux quatre coins du monde), ceci à ralenti légèrement les formalités (boarf trois mois à peine).

Mais comme toute bonne chose à une fin, j’ai obtenu ma convention de stage. Ouééé. Enfin tranquille, je peux enfin m’attaquer à des choses beaucoup plus intéressantes comme… heu…





Ah oui bosser mes cours, bordel j’oublie toujours.

Mais suite à ces dix huit secondes et demi de bonheur intense mais tellement essentielles dans la vie d’un homme beau et équilibré (hum) survient l’horreur.

Cette convention de stage doit être signé par le maître de stage, le responsable pédagogique, le directeur du laboratoire et le président de l’assemblée, en même temps avec un seul stylo Bic noir, même qu’on va jouer au poker menteur pour savoir qui aura le stylo pour signer en premier parce que c’est comme ça et que c’est écrit dans la loi B-61425 paragraphe z’. Certaines personnes pointilleuses me soulignent à juste titre qu’une alternative est la loi B-52841 où cette fois ci on jouera le stylo aux chaises musicales, musique pour le jeu qui sera tiré évidemment du dernier album de James Blunt suite aux accords récents de Ouagadougou (uniquement si la loi précédente ne peut s’appliquer en raison de la directive C-59454 de la commission européenne cela va de soit) (si si, c’est les petites lignes tout en bas. Oui bon, il faut un microscope à balayage optique pour pouvoir déchiffrer les lettres)
Mais bon on va pas chipoter.

Alors moi, je rigole (hahaha) et je me dis que non c’est pas possible, ça peut pas exister une loi comme ça. En plus, James Blunt c’est pas sérieux, Pixies je dis pas mais James Blunt bordel. Effectivement, tout ceci n’était qu’illusion. Je me suis réveillé en sueur et en hurlant : « NON PAS JAMES BLUNT ! ». Malheureusement pour moi, je m’étais assoupi dans la BU.

A suivre.

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