mercredi, janvier 25, 2006

Le Contre-blog : Chapitre 4 et demi

Le contre-blog a t’il survécu à cet amas de haine craché par le vil Passe-Partout ?

Deux choix s’offrent à vous. A vous de décider.

Deuxième choix.

Nous sommes le 03 Octobre 2015, le temps est splendide quoiqu’un peu froid pour la saison. Ne pouvant plus résister à la terrifiante chanson de Passe-Partout et avant qu’un drame ne se prépare, la contre-attaque de trois des membres du contre-blog (un blog attaque, un contre-blog contre-attaque) surgit de nulle part. Comme par hasard, Steven Spielberg pissait dans le coin et voyant toute la scène s’est exclamé : « What a piece of fucking shit, these guys are fucking fabulous ». Steven qui a toujours une caméra dans sa poche a filmé ce grand moment de présence scénique qui fait passer la prestation de Passe-Partout pour du caca de mouche transgénique. La vidéo est ici. Petit jeu. Todoudoudoudou dadam (générique de merde qui annonce un jeu passionnant) Sauras-tu retrouver les membres du contre-blog dans cette vidéo ? Un petit indice Poupipoupa a les cheveux longs et un de mes passe-temps est de taper sur des cuisinières, ça me détend.
Alors, tu as trouvé ? Oui, je sais c’est difficile.

Reprenons.
Devant cette vision d’horreur, Passe-Partout hurla à la mort. Et mourut sur le coup.
La victoire était totale, sans une goutte de sang versée, le contre-blog avait encore vaincu (poil au …).

Steven Spielberg signa un contrat d’exclusivité pour les trois membres du contre-blog, leur donnant les principaux rôles pour son prochain film relatant l’histoire d’un aventurier à la recherche du Saint-Graal durant la période Nazie, avec des extraterrestres voulant rentrer à la maison et des monstres disparus il y’a bien longtemps à cause d’une vilaine météorite. Puis il disparut d’un coup et d’un seul, grâce à sa bouée magique.

Le Fort était ainsi à nous. Et comme le dit si bien un ami à moi : May the Fort be with us.

Alors que déciderez-vous ? La fin de ce contre-blog ou la suite d’aventures périlleuses et passionnantes sans aucune pensée à l’auteur qui va se casser le cul pour trouver la suite.

Merci. Adieu.

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