Razorlight in Strasbourg
Molmeus est allé en Angleterre. Du moins on aurait pu le croire. N’écoutant que mon courage, je suis allé à la Fnac prendre un billet pour Razorlight. Ne connaissant pas le groupe, je fjiojfezohd l’album le matin même pour l’écouter. Mouais. Bah grâce au boulot de mon papa j’ai 50 % sur tous les concerts. Mouhahaha. Je peux donc aller voir des groupes dont j’ai à peine et vaguement entendu le nom. Ce qui est le cas de Razorlight. Soit.
Arrivée dix minutes avant le concert. Une queue hallucinante de 100 mètres pour rentrer. Putain, ça a l’air connu Razorlight. Je demande qund même à la charmante demoiselle devant moi. Euh c’est bien la queue pour Razorlight ? Yes. It’s for Razorlight. Et elle a le bon goût de rajouter qu’elle est anglaise. Merci connasse j’avais pas compris. Bon la queue pour rentrer, la queue pour poser le blouson. J’ai envie d’être dans la fosse. Je vais crever si je garde mon manteau.
Première partie : The Tatianas.
Un groupe sympathique de rauque local venant de Ffeihfjoihezjzsheim. Mouais bof bof. On voit l’influence des Libertines. Même guitare, même voix, même allure. Z’aurait mieux fait de reprendre des chansons des Libertines, le public aurait peut-être bougé. Premère partie neutre donc. Fin de l’acte.
Queue pour aller chercher un ticket pour boire une bière. Queue pour prendre une bière. (grosse erreur la bière, vous verrez ça plus tard). La galère pour essayer de rentrer dans la fosse. A force de regard haineux des vilains gens, je suis assez éloigné de la fosse. Première chanson. OK ça bouge pas. Deuxième chanson. Putain, j’ai envie de pisser et ces cons de vieux qui restent plantés la. Troisième chanson, ok il faut que je pisse. Toute la foule à traverser pour aller aux toilettes. Retour. Molmeus ruse. Des lièvres font un forcing pour rentrer dans la fosse. Enfin, j’y suis. Et là c’est le drame. Ou pas. Si être entouré de charmantes anglaises qui se jettent sur vous constituent un drame c’est que vous êtes un peu concon (bre). Enfin, j’apprécie, ça bouge, ça chante (mal), moi je connais rien j’applaudis. Enfin tout ça pour dire que pendant tout le concert je n’ai entendu parler qu’anglais. Je me suis cru à Londres ou Bristol pendant un moment, c’était bien finalement. Retour à la réalité. Fin du concert. Queue pour récupérer les manteaux.
Ce matin, je me lève et j’ai la crève. Youhoou. Rauque et roll.
Arrivée dix minutes avant le concert. Une queue hallucinante de 100 mètres pour rentrer. Putain, ça a l’air connu Razorlight. Je demande qund même à la charmante demoiselle devant moi. Euh c’est bien la queue pour Razorlight ? Yes. It’s for Razorlight. Et elle a le bon goût de rajouter qu’elle est anglaise. Merci connasse j’avais pas compris. Bon la queue pour rentrer, la queue pour poser le blouson. J’ai envie d’être dans la fosse. Je vais crever si je garde mon manteau.
Première partie : The Tatianas.
Un groupe sympathique de rauque local venant de Ffeihfjoihezjzsheim. Mouais bof bof. On voit l’influence des Libertines. Même guitare, même voix, même allure. Z’aurait mieux fait de reprendre des chansons des Libertines, le public aurait peut-être bougé. Premère partie neutre donc. Fin de l’acte.
Queue pour aller chercher un ticket pour boire une bière. Queue pour prendre une bière. (grosse erreur la bière, vous verrez ça plus tard). La galère pour essayer de rentrer dans la fosse. A force de regard haineux des vilains gens, je suis assez éloigné de la fosse. Première chanson. OK ça bouge pas. Deuxième chanson. Putain, j’ai envie de pisser et ces cons de vieux qui restent plantés la. Troisième chanson, ok il faut que je pisse. Toute la foule à traverser pour aller aux toilettes. Retour. Molmeus ruse. Des lièvres font un forcing pour rentrer dans la fosse. Enfin, j’y suis. Et là c’est le drame. Ou pas. Si être entouré de charmantes anglaises qui se jettent sur vous constituent un drame c’est que vous êtes un peu concon (bre). Enfin, j’apprécie, ça bouge, ça chante (mal), moi je connais rien j’applaudis. Enfin tout ça pour dire que pendant tout le concert je n’ai entendu parler qu’anglais. Je me suis cru à Londres ou Bristol pendant un moment, c’était bien finalement. Retour à la réalité. Fin du concert. Queue pour récupérer les manteaux.
Ce matin, je me lève et j’ai la crève. Youhoou. Rauque et roll.
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