dimanche, décembre 10, 2006

Encore une nuit sans soleil.

Ça viendra.

A la joie
A la beauté des rêves
A la mélancolie
A l’espoir qui nous tient
A la santé du feu et de la flamme

Youhoou.
Le contre-blog. Utopie réaliste ou démagogie irréaliste ? (l’est pas belle cette phrase ? ça veut peut-être rien dire, mais je m’en fous)

Le contre-blog est devenu blog.

Réflexion intellectuelle et (forcément) inintéressante.
Doit-on nous considérer comme personnes prises dans un engrenage inévitable et que l’on a pas su évité, connards et faibles que nous sommes ?

Rappelons-nous. Lois du contre-blog : Ne jamais raconter sa vie.
Même si on la tourne parfois en dérision, le contre-blog est basé sur nos vies. Strasbourg. Chouille. Bordeaux. Chouille. Toulouse. Conneries diverses et variées.

Que faire pour rétablir l’idée même d’un contre-blog ?

Tout le monde se fout de notre vie. Raconter autre chose. Qu’est ce donc autre chose ? Raconter des histoires ? (tenté en vain par moi-même : cf. La fabuleuse Histoire du Contre-Blog). Parler de musique ? (oui mais s’attacher à un certain style de musique a forcément trait à nos pauvres vies). Raconter une vie qui n’est pas la notre. Inventer de toutes pièces une vie humaine ou inhumaine (ami schizophrènes bonjour).

Contre-blog. Idée neutre sur fond neutre ? Mouais.

Voilà, le débat n’avancera pas avec ce que je viens de dire. Mais bon, faut recadrer parfois, sinon c’est l’anarchie et dans anarchie y’a « chie ».

Je comprend comment. Je ne comprend pas pourquoi (cf. George Orwell)
Ça serait plutôt dans notre cas, je comprend pourquoi, je ne comprend pas comment.
Il est temps de comprendre comment.

L’idée même d’un contre-blog est peut-être irréalisable.
Il serait temps de le fermer. Ou de changer son nom.

Tel est mon avis.

Contre-blog mutation vers le contre-contre-blog ?
Ou continuer à tenir un journal de notre vie ?

Lecteurs zet lectrices. A vous de décider. Sinon c’est moi qui choisira la meilleure optique (2000) pour notre futur. Et tel un gentil président africain, des têtes tomberont sans sang dans nos frêles mains (on pendra tout le monde).

Sinon hier, j’ai bu du vin. Je suis rentré en vélo. Et j’ai dit fuck à un connard au volant.

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