mardi, janvier 17, 2006

Ciné cinéma tchi tcha

Molmeus veut aller à un concert. Les Ogres de Barback. Mais je ne trouve pas d'amis pour aller avec moi. Tous des cons. Me vengerai.

Tiens je viens de trouver un tee-shirt correspondant à mon humeur du moment.

Puis pour finir dans l’interlude « La vie follement inintéressante de Molmeus », je viens de rajouter trois blogs qui me font pisser de rire, même que je suis obligé de mettre des couches tellement c’est drôle. Ces jeunes artistes seront à Angoulême et moi j’ai décidé d’aller à Angoulême rien que pour les voir en vrai et acheter leur album. Puis j’aurai une dédicace d’eux et je vous ferai baver bande de nuls. Niark niark niark, ma vengeance est enclenchée. Dans dix jours, je serai le maître du monde.

Allez changeons complètement de sujet.

J’ai décidé de parler de mes influences cinématographiques, quels sont les films qui m’ont inspiré pour écrire de pareilles conneries.

Ceci est un post interactif. Téléchargez les jolis mp3 sinon vous ne comprendrez rien. Si après avoir téléchargé vous ne comprenez toujours rien, ben euh c’est ballot. Si tu es sourd, c’est con pour toi, mais comme on le dit si bien dans ce monde cruel : Pas de bras, pas de chocolat.

Tout d’abord, très petit, j’ai été fasciné par les films d’horreur. Mais pas ses bouses comme l’Exorciste, Shining ou le retour des morts vivants. Non, des vrais films d’horreur, qui te font regarder derrière toi toutes les dix secondes à 03 heures de l’après-midi dans la rue la plus passante de Bordeaux un jour de solde le samedi, puis dès que le soleil se couche, tu t’enfermes chez toi avec un couteau, un flingue, une allumette et une BD, et tu fermes les 153 verrous que tu viens d’acheter à un monsieur louche (même qu’on pouvait pas suivre son regard tellement qu’il louchait mouhahaha). Mais le film d’horreur te fait aussi allumer ta lumière jusqu’à tes 35 ans, hurler à la mort dès que tu saignes du nez, tomber dans les pommes dès qu’un moustique rode dans ta chambre puis partir en courant dès que le téléphone sonne. Le film d’horreur avec des vrais moches, des vrais morts, des vrais manipulations génétiques. Un vrai diable avec des cornes et qui crache par terre.
Je veux parler du film diabolique, avec un vrai scénario, des vrais trouvailles.

LE CLANDESTIN. Comment ? Vous ne connaissez pas ? Honte à vous. Un chat subit des mutations génétiques (l’explication est ici) et décide de tuer tout ce qu’il aime pas. Et croyez moi, un chat ça aime pas grand monde. Hormis la boite de Kit et Kat. Le chat est traître, il amadoue pour qu’on lui donne à bouffer. Il bouffe puis il tue son maître sans aucun remord. Un film avec un budget et des effets spéciaux euh… spéciaux. Avec des gens qui n’ont pas peur de dire des gros mots. Et une happy end digne et fière de l’être.


Après m’être rendu compte que les films d’horreur, c’est marrant tout ça, mais ça ne reflète pas la dure réalité de la vie, je me suis mis à regarder les films d’action. Les vrais films d’action où on est pas des lopettes, et qu’on va tous les niquer ces cons de Russes qui parlent même pas américain. Tel Rambo qui décida d’attaquer toute une ville entière dans le Texas (yeehaaa) car on lui avait demandé de couper ses cheveux. Mais Rambo il aime bien ses cheveux même qu’il les lave avec Head & Shoulder (petit jeu : répète 15 fois Head & Shoulder en hurlant à travers ta fenêtre. Ouiiii bravo, tu as gagné un séjour dans l’asile le plus proche. Tu pourras te faire des amis tel que Raymond le psychopate au grand cœur et René l’homme qui se prenait pour un salsifi mangeur de choucroute purulente). Hum. Alors, Rambo s’est énervé et il a tué tout le monde. Mais bon, personnellement, dans Rambo, il y’a trop de dialogues et trop peu d’action.
Steven Seagal, lui c’est un vrai. Il peut aller en Antarctique en slip et sans brosse à dent et débarquer une heure trente plus tard chez les méchants Russes (car les Russes sont toujours les gros méchants ignobles). Véridique. Ecoutez ça. Un grand ce Steven Seagal.
Après un rapide passage dans les films d’action écossais (Johnny McGregor, un autre grand), vint Hitman The Cobra. Bon je vous résume le film. Un méchant armé et moustachu a livré des dossiers top-secrets aux méchants Japonais (ici, une variante, ce sont les Japonais les pas beaux), alors Filip (aussi appelé The Cobra) va tuer le méchant pour lui apprendre à respecter son pays (parce que Filip, c’est un vrai patriote lui, il tue mais c’est seulement pour son pays). On a ici, le dialogue d’action le plus intense de l’histoire du cinéma.

Puis vint la révélation Chuck Norris. Chuck Norris est poilu, Chuck Norris aime les chapeaux de cow-boys, Chuck Norris n’aime pas les méchants, Chuck Norris aime les gentils, Chuck Norris n’aime pas les tapettes. Chuck Norris a sorti la plus grande phrase qui tue. Cette phrase est culte, est belle, à en chialer.

Voici en exclusivité THE PHRASE QUI TUE OF CHUCK NORRIS.
Cette phrase n’est pas ici. Mais .

A suivre si j’ai la motivation.
Merci. Adieu.

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