samedi, décembre 24, 2005

Les cuillères : un fléau.

Pendant que je me reposais de mes révisions ô combien difficiles, j’ai trouvé ceci.

LONDRES (Reuters) - Des chercheurs australiens ont établi que les petites cuillères avaient potentiellement une âme et une vie privée, grâce à l'étude de 70 spécimens, cinq mois durant, dans le plus grand secret.
Comme il s'y attendait, un groupe de scientifiques de Melbourne a constaté que 80% des petites cuillères avaient disparu au cours de leur période d'observation, les zones privées de l'institut étant deux fois moins touchées que les espaces communs.
"A ce niveau, nous estimons à 250 le nombre de petites cuillères qu'il faut acheter par an pour maintenir une population exploitable de 70 cuillères", écrivent ces chercheurs du Macfarlane Burnet Institute for Medical Research and Public Health, dans l'édition des fêtes du British Medical Journal.
Ils ajoutent que leur étude prouve combien les petites cuillères - cuillères à thé ou cuillères à café - sont essentielles à la vie de bureau et que leur taux de disparition élevé montre à quel point elles sont incessamment menacées.
Regrettant que la littérature scientifique soit "étonnamment pauvre" en matière de recherche sur les petites cuillères, les scientifiques proposent plusieurs théories pour tenter d'expliquer ce phénomène.
Fort d'un indice tiré du Guide du voyageur galactique de Douglas Adams, ils penchent pour une migration des cuillères vers une planète uniquement peuplée de formes de vie "spatuloïdes" coulant des jours heureux dans un état de flottement proche du Nirvana.
Ils évoquent également le phénomène de "Résistantialisme" qui confère aux objets inanimés une aversion naturelle pour la race humaine.
D'un autre côté, ils n'écartent pas l'hypothèse selon laquelle ce serait simplement des gens de qui les emportent


Hum ceci a l’air très sérieux. Je me disais aussi. Cette théorie très importante connue sous le nom de code de « les cuillères ne sont pas nos amis », est constaté dans les lieux où les petites cuillères se reproduisent en abandonce. Ainsi forte d’une population élevée, elle décidait de se rebeller contre la société ultra libérale et partir avec leurs petites pattes de mutantes vers un avenir meilleur. La patrie des spatuloïdes où le grand chef aka grosse cuillère qui pique règne dans un empire sans partage. C’est en constatant cela complètement par hasard alors qu’il était en train de pisser sur les tomates (à votre avis pourquoi je ne prend jamais d’entrée bandes de naïfs (assureur militant)). qu’un cuisinier de la fac de Bordeaux 1 se rendit compte du complot qui se tramait dans les trames de la cuisine. Avertissant le chef aka l’Homme à la bouffe dégueulasse, ils décidèrent de remplacer toutes les petites cuillères par des cuillères en plastique encore trop jeunes et insouciantes pour comprendre leur malheur.
Ceci prouve bien que la théorie d’un rejet massif des cuillères contre les humains est bien fondé.

Pour l’instant, peu des gens le savent mais bientôt on dira ILS avaient raison. Merci les Australiens.


Ses recherches ont l’air passionnantes, alors moi aussi j’ai eu une fabuleuse sans être affabulatrice idée. Pourquoi l’eau ça mouille?

J’ai bien envie de faire un doctorat pour juste faire une thèse là dessus et me marrer un peu. Mais bon je suis trop lâche et labile - blague de pauvre étudiant de chimie que personne ne comprendra mais je m’en fous parce que ?????? - (ami j’ai besoin de toi finis cette phrase pour moi parce que je suis fatigué et en vacances, une photo de Poupipoupa habillé en schtroumpf heureux faisant du moonwalk à l’envers (variante très difficile) pour le gagnant). En plus des gens méchants diront que la vie c’est comme une boîte de Smarties, c’est rond et rarement rose. Et que les conneries ça va bien un moment mais là c’est une thèse bordel.

J’imagine : Molmeus docteur ès eau qui mouille. Ça sonne bien non ?

Faut juste que je trouve des idées. Que ceux qui veulent partir dans une aventure fofolle lève les pieds. Ouaaaais. On va battre les Australiens.

Merci. Adieu.

0 boulet(s) qui nous parlent

Enregistrer un commentaire

<< Home