mardi, novembre 07, 2006

C'est bizarre...

C’est bizarre quand j’écris des idées psychologiquement débiles et futilement inerte, j’écoute la musique la plus triste qu’il soit sur mon disque dur. Comme si le fait d’entendre des gens se plaindre en chantant m’inspire.

C’est bizarre, j’écris plus sérieusement ces temps-ci. C’est bizarre.

C’est bizarre ce mot… bizarre.

C’est bizarre ces gens qui écrivent en faisant une sorte de thérapie parce qu’il faut étaler sa tristesse au monde entier. Tout le monde doit savoir qu’il est une ordure parce qu’il a trompé sa femme avec un loup-garou (pas le chanteur, l’animal). Mais Fuck (rhololo quel violent ce Molmeus). Je m’en fous de leur problème, j’en ai déjà assez moi de problèmes. Pas besoin d’avoir les problèmes des autres. En plus, je les connais pas ces gens moi, on a pas gardé les schtroumpfs ensemble. Parlez, je sais pas moi de guerre, de flingue, de mort, de Britney Spears, des trucs marrants quoi. Mais pas d’histoire d’amour.

Ceci est un message à tous les chanteurs, artistes, pseudo-chanteurs, paroliers. On s’en fout de votre cœur. Bouffez-le, tuez-vous qu’on en parle plus. Les zamis créons une association qui s’appellerait AC/DC (Association Contre les Déprimants Chanteurs)

On inventerait un slogan, je sais pas moi :

Arrêtons le massacre, parlez plutôt de massacre.

Dès qu’un chanteur passera chez Drucker, on pourrira sa chanson en chantant dans le public les Gros Nichons et Y’en a des biens. On sera des activistes violents. On séquestrera des guitares et des télés. On mangera des clafoutis à la mangue et on fera pipi dans la baignoire du voisin.

On sera des millions dans quelques années, puis après je piquerai la caisse et m’installerai aux Seychelles.

Ok ? Allez Hop tous à la Bastille. Obispo et Céline Dion au boucher (comment ? ah oui au bûcher)

Imaginons juste un instant.
Non. En fait non. Je suis fatigué là.


AC/DC Highway to Hell

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