First Guest Star in the Blog
Hé hé, ça y'est des guests viennent signer pour nous. Non ce n'est pas Patrick Eudeline, non ce n'est pas Pascal Obispo, mais bien Skippy le Winner. Tu ne le connais pas. Moi non plus.
En tout cas ça parle de musique. FatFrancis pape de la bonne musique écoutable et chiante se fera un plaisir de dire tout le mal de cet article. Voici ce qu'on ma envoyé. A partir de là ce n'est plus moi qui écrit (en fait si après "là" c'est encore moi qui écrit, c'est moi qui ai écrit "ce n'est plus moi qui écrit ") . A partir de là :
Toi, la, ouais, la pute à frange, je pense que tu fais réellement erreur si tu penses, à travers tes (trop nombreux) blogs ou ton Myspace, parler de l'emocore, qui plus est comme une nouvelle vague du rock. Rubrique à brac de formations n'ayant rien en commun mis à part un gout prononcé pour les fringues H&M, les groupes listés sur ta page sont la plupart du temps power pop, crossover hard FM/ thrash metal (Avenged Sevenfold sur Waking The Fallen, Atreyu, Bullet For...), ou hardcore (Comeback Kid, ETID influencé par Refused) ou screamo édulcoré (Underoath, mais le mec gueule bien). Le seul groupe qu'on pourrait éventuellement rattacher à la mouvance emocore serait Hell Is For Heroes, de part une musique qui tend à exploser/imploser selon les ambiances, à la manière d'At the Drive In pour ne citer que lui, mais sans faire dans l'exagération de la plupart des groupes suscités, à savoir "je fais mine de chanter faux pour les plans mélodiques ou refrains, quand le guitariste joue en arpège et le gueule le reste du temps pour faire le mec qu'a mal devant un mur de son, le schéma est répété durant trois minutes". Elle est où la sincérité des émotions là-dedans? Tout est bien trop calculé, trop bien huilée. Après tout ça, tu pourras arguer que l'emo existe bel et bien, que cela fait cinq ans que ces groupes sont apparus et qu'ils dépoussièrent l'univers du rock'n'roll, machiste et sans une once de finesse... je t'invite à découvrir le véritable mouvement emocore (emotional hardcore, ne l'oublies pas) sur Internet. En cherchant bien, tu verras qu'il n'y a aucun rapport entre les groupes venus de la scene old-school hardcore et la tribu des goths/glams qui pu-llulent par les temps qui courent, les valeurs étant diamétralement opposées. Et puis, soyons d'accord, toutes les musiques procurent des émotions. Et ce, sans étiquette hardcore/metal/chaispasquoi.
Et pour finir, je n’hésiterai pas à mettre en avant la corrélation entre l’emo et la défaite de l’équipe de France face aux Ritals.
Merci Skippy le Winner. Maintenant casse toi et ne reviens jamais. Plus jamais.
En tout cas ça parle de musique. FatFrancis pape de la bonne musique écoutable et chiante se fera un plaisir de dire tout le mal de cet article. Voici ce qu'on ma envoyé. A partir de là ce n'est plus moi qui écrit (en fait si après "là" c'est encore moi qui écrit, c'est moi qui ai écrit "ce n'est plus moi qui écrit ") . A partir de là :
Toi, la, ouais, la pute à frange, je pense que tu fais réellement erreur si tu penses, à travers tes (trop nombreux) blogs ou ton Myspace, parler de l'emocore, qui plus est comme une nouvelle vague du rock. Rubrique à brac de formations n'ayant rien en commun mis à part un gout prononcé pour les fringues H&M, les groupes listés sur ta page sont la plupart du temps power pop, crossover hard FM/ thrash metal (Avenged Sevenfold sur Waking The Fallen, Atreyu, Bullet For...), ou hardcore (Comeback Kid, ETID influencé par Refused) ou screamo édulcoré (Underoath, mais le mec gueule bien). Le seul groupe qu'on pourrait éventuellement rattacher à la mouvance emocore serait Hell Is For Heroes, de part une musique qui tend à exploser/imploser selon les ambiances, à la manière d'At the Drive In pour ne citer que lui, mais sans faire dans l'exagération de la plupart des groupes suscités, à savoir "je fais mine de chanter faux pour les plans mélodiques ou refrains, quand le guitariste joue en arpège et le gueule le reste du temps pour faire le mec qu'a mal devant un mur de son, le schéma est répété durant trois minutes". Elle est où la sincérité des émotions là-dedans? Tout est bien trop calculé, trop bien huilée. Après tout ça, tu pourras arguer que l'emo existe bel et bien, que cela fait cinq ans que ces groupes sont apparus et qu'ils dépoussièrent l'univers du rock'n'roll, machiste et sans une once de finesse... je t'invite à découvrir le véritable mouvement emocore (emotional hardcore, ne l'oublies pas) sur Internet. En cherchant bien, tu verras qu'il n'y a aucun rapport entre les groupes venus de la scene old-school hardcore et la tribu des goths/glams qui pu-llulent par les temps qui courent, les valeurs étant diamétralement opposées. Et puis, soyons d'accord, toutes les musiques procurent des émotions. Et ce, sans étiquette hardcore/metal/chaispasquoi.
Et pour finir, je n’hésiterai pas à mettre en avant la corrélation entre l’emo et la défaite de l’équipe de France face aux Ritals.
Merci Skippy le Winner. Maintenant casse toi et ne reviens jamais. Plus jamais.
posté par Molmeus @ 11:29 AM
2 boulet(s) qui nous parlent
Hum, ouais, je soupçonnerai ce b... d'eudeline de se cacher derrière ce pseudo navrant. C'est tout à fait le genre...
Salut, je suis samy et je m'occupe d'un groupe de heavy "Darknation" qui viens de sortir son 1er album "Merci pour le mal" en fnac et je t'invite à venir nous rejoindre sur l'adresse msn soleilnoir89@hotmail.fr, je t'offrirai deux morceaux.
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